• ♦ The Goat Life [2024] ♦

    ♦ The Goat Life [2024] ♦

    ♦♦♦ The Goat Life [2024] ♦♦♦ 【VOSTFR】【LICENCIÉ】

    ♦ Genre : Drame - Thriller

    ♦ Diffusion : 28 Mars 2024

    ♦ Pays : Inde

    ♦ Durée : 2 H 50 min

    ♦ Acteurs : Prithviraj SukumaranK R Gokul,Jimmy Jean-Louis,Talib Al Balushi,Rik Aby,Robin Das,Amala Paul,Shobha Mohan,Nasar Karutheni

    ♦ Histoire:

    Aadujeevitham (en anglais : Goat Days ou The Goat Life) est un roman en malayalam de 2008 de l'auteur indien Benyamin. 

    Il raconte l'histoire d'un travailleur migrant malayali maltraité, employé en Arabie saoudite comme chevrier contre son gré. Le roman est basé sur des événements réels et a été un best-seller au Kerala.

    En Arabie saoudite, Najeeb Muhammed et Hakim, deux immigrants malayalis, arrivent avec l'espoir de trouver une vie meilleure, munis de visas obtenus grâce à leur connaissance, Sreekumar. Laissés pour compte à l'aéroport sans connaître l'identité de leur employeur, ils sont abordés par un Arabe local qui, par erreur, se prend pour leur patron. Après un voyage éprouvant, ils sont séparés ; Najeeb est envoyé travailler seul dans un désert isolé où il est chargé de la garde des chèvres.

    Endurant des conditions difficiles et l'isolement, Najeeb assiste à la disparition d'un camarade chevrier, prenant conscience du danger de sa propre situation. Après des années de souffrance, il retrouve Hakim qui le présente à Ibrahim Khadiri, un chevrier somalien qui connaît les voies d'évasion. Ils profitent de l'occasion offerte par le mariage de la fille de leur Kafeel pour s'évader dans le désert.

    Leur évasion s'avère périlleuse, confrontés à la difficulté de trouver de la nourriture et de l'eau et aussi de s'orienter, ce qui entraîne la mort de Hakim et la quasi-mort de Najeeb. Un matin, Najeeb se réveille et ne voit plus Khadiri qui est parti lui laissant leur bouteille d'eau. Seul dans l'immensité du désert, Najeeb parvient finalement à rejoindre la ville grâce à l'aide d'un riche Arabe de passage. Il trouve refuge dans un restaurant malayali local tenu par Kunjikka, qui prend soin de lui.

    Toutefois, les difficultés de Najeeb sont loin d'être terminées. Il risque l'emprisonnement en raison de problèmes liés à ses papiers d'identité disparus. Le Kafeel le retrouve mais finit par l'abandonner car il n'est pas son sponsor officiel et ne peut donc pas le reprendre sous sa responsabilité. Malgré ces revers, après trois mois de prison, Najeeb réussit finalement à retourner chez lui.

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    Najeeb Muhammed, Najeeb Muhammed est un personnage réel, a passé 3 ans et demi (4 avril 1992 – 13 août 1995) dans une ferme isolée du désert d'Arabie saoudite. 

    Originaired'Arattupuzha, dans le Haripad , il travaille comme mineur de sable et reçoit d'unami de Karuvatta un visa d'une valeur de 30 000 ₹ (équivalent à 230 000 ₹ ou 2 800 USD en 2023) pour travailler comme assistant dans une entreprise de construction en Arabie saoudite . 

    Hakeem est un jeune homme qui vit une vie similaire à celle de Najeeb. Il rejoint Najeeb pour fuir le désert, mais doit se rendre avant de mourir à cause de la faim et de la soif au cours de leur périlleux voyage à travers le désert.

    En racontant sa rencontre avec le vrai Najeeb, Benyamin se souvient :

    Mais quand j’ai entendu son histoire, j’ai su que c’était l’histoire que j’attendais de raconter au monde et je savais qu’il fallait la raconter. En général, on n’entend parler que des histoires de réussite dans le Golfe. Mais je voulais parler de tous ceux qui vivent dans la souffrance et la douleur.

    Il a fallu convaincre Najeeb, réticent, qui voulait oublier son passé, de raconter son histoire. 

     

    Le film « The Goat Life » crée la controverse à travers le monde arabe

    C’est un long métrage indien qui ne plaît pas à l’Arabie saoudite et envenime ses relations avec l’Algérie. En cause : la pratique de la kafala, un système oppressif de parrainage des travailleurs immigrés.

    « Pendant des années, l’Arabie saoudite a dépensé des milliards de dollars pour améliorer son image et soigner sa réputation à travers le monde. Un film indien, tourné avec deux acteurs, une poignée de chèvres et quelques chameaux, a tout ruiné en quelques jours. »  Aussi cruel qu’ironique, ce commentaire d’un internaute anonyme a été repris des centaines, voire des milliers de fois, sur toutes les plateformes de réseaux sociaux à travers un monde arabe qui se divise désormais en deux : ceux qui ont vu le fameux film de Blessy Ipe Thomas, et ceux qui cherchent à le voir par tous les moyens.

    Réduit en esclavage par le système de la kafala

    C’est cet enfer vécu par un travailleur immigré pris dans l’engrenage de la « kafala », ce système de parrainage oppressif qui a toujours cours en Arabie saoudite et dans les pays du Golfe, que le film raconte avec un talent certain, selon les avis de ceux qui l’ont vu.

    En réalité, la kafala est une procédure d’adoption spécifique au droit musulman qui permet à un homme ou une famille d’élever un enfant orphelin ou né hors mariage comme son propre enfant. La kafala désigne aussi le parrainage préalable à l’embauche des travailleurs étrangers dans les pays du golfe Persique. Dans le cadre du système de recrutement de la kafala, les étrangers ne sont autorisés à entrer et à prendre un emploi que s’ils sont parrainés par un kafeel – un « sponsor » local. C’est ce système qui fait que des milliers de migrants originaires d’Asie du Sud et d’Afrique sont recrutés pour travailler dans les chantiers ou pour effectuer des tâches ménagères chez les particuliers dans des conditions souvent difficiles. Avec, en sus, des atteintes régulières à leurs droits les plus élémentaires.

    Depuis des années, des témoignages viennent régulièrement dénoncer des conditions de travail épuisantes, un versement irrégulier des rémunérations, des violences verbales et physiques, ainsi que des agressions sexuelles. Le film a donc le mérite de relancer le débat sur la nécessaire réforme d’un système que certains n’hésitent pas à assimiler à de l’esclavage moderne. Mais depuis sa diffusion sur Netflix, le film est la cible de critiques virulentes en Arabie saoudite. Au point d’être devenu une véritable affaire d’État, prise très au sérieux par les instances dirigeantes du pays

     

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